Traitement des rejets atmosphériques d'un parc chimique en France

Une entreprise fournit des services publics et industriels dans un parc chimique en France. Elle exploite un incinérateur pour les entreprises chimiques du parc. L'incinérateur contient des pierres réfractaires qui doivent être remplacées tous les deux à trois ans.

Au cours de ces périodes de maintenance, qui durent un à deux mois, une entreprise de chimie de spécialités du parc doit au contraire évacuer ses gaz résiduaires à la torche. Cependant, cela ne supprime pas tous les polluants.

L'entreprise chimique a subi des pressions de la part de l'autorité environnementale locale pour prouver qu'elle respectait ses limites d'émissions : COV jusqu'à 110 mg/m³, tert-butylmercaptan (TBM) jusqu'à 20 mg/m³ et sulfure d'hydrogène (H₂S) jusqu'à à seulement 5 mg/m³.

L'autorité a le pouvoir de fermer l'usine si les conditions ne sont pas remplies, la société de services industriels a donc cherché une solution de secours.

Le système a été installé à l'automne. Pendant le premier mois, le client a mesuré les émissions au point de vente tous les deux jours et n'a détecté aucune pollution.

Cela a permis à l'entreprise chimique de démontrer aux autorités environnementales qu'elle respectait son permis, levant ainsi la menace de fermeture.

Le premier filtre a duré six mois avant de devoir être remplacé.

Le client et l'entreprise chimique restent très satisfaits. Ils ont été agréablement surpris par l'efficacité du charbon actif.

Initialement, il était prévu que le filtre ne serait utilisé que pendant le temps d'arrêt de l'incinérateur. Cependant, le client l'envisage désormais comme une solution permanente en raison des problèmes de fiabilité de l'incinérateur, qui ont parfois contraint l'entreprise chimique à suspendre la production.

Le client est satisfait de la rapidité avec laquelle le filtre a été installé. Une technologie fixe alternative pourrait nécessiter une ingénierie et une construction approfondies, prenant rapidement quelques mois, mais le filtre de Desotec a été installé en deux semaines.

C'est aussi une solution très simple : moins d'une heure après l'installation, il n'y avait aucune pollution.

Il y a aussi peu de dépenses d'investissement. Les solutions alternatives pourraient coûter des millions d'euros, mais pourraient ne pas s'avérer efficaces. Les filtres Desotec sont fournis en location et peuvent donc être retirés si nécessaire.

Desotec traite tous les déchets de carbone en les transportant en toute sécurité dans des unités de filtration fermées. Dans nos installations en Belgique, nous analysons des échantillons pour déterminer comment les stocker et les traiter. Toutes les molécules qui ont été adsorbées pendant le fonctionnement sont désorbées à l'intérieur des fours de Desotec, et la plupart du carbone est ensuite réactivé pour être réutilisé. Les contaminants sont détruits conformément à la législation nationale et européenne. L'ensemble de l'installation et ses émissions sont sous surveillance continue en ligne, et seule de la vapeur d'eau inoffensive sort de la cheminée.